Nos créations

Une Verbe
Par Mikaela Poala Botial

John essayait de se rappeler ce jour dans son esprit. Il regardait à travers la grande fenêtre en verre quand Norah a levé les yeux. C'était la première fois qu'ils se rencontraient. Il est allé dans le magasin et elle lui a souri. John est allé droit a l'endroit où elle était et lui a dit franchement qu'il pensait qu'elle était belle. Norah n'a rien dit, mais elle a vraiment aimé John aussi. John a demandé son numero de telephone, mais Norah avait déjà atteind sa carte de visite.

John est rentré chez lui et lui a immédiatement envoyé un e-mail sur La façon dont il était agréable de la rencontrer. Pendant ce temps, Norah était encoure au travail. Elle ne pouvait pas arrêter de penser à lui. Elle lui a donné sa carte et elle attendait son appel.

Plus tard, quand Norah se préparait à dormir, le téléphone a sonné. Elle a été frappé par la sonorité profonde d'une voix d'homme. C'était la voix de John. Cet appel téléphonique a été le debut de la facon dont ils sont arrivés a mieux se connaître. À la fin de leur conversation, John a dit Norah pour répondre le 16 octobre, 10 heures du matin au Phare de Nick.

John attendait Norah au café. Quand Norah est arrivée, il s'est soudainement senti l'espoir qu'elle pourrait l'aima vraiment. Ils se sont assis aà la terrasse sur donnant sur la plage. Norah a comménce un dialogue, que John a apprecié. Ils sont eu un moment où aucun d'entre eux ne parlaient et ils ont souri l'un. John admirait la beauté de Norah quand le soleil se levait. La lumière a frappé son visage parfaitement comme elle a levé les yeux vers lui. Ils ont tous deux senti leur coeur battre plus fort et plus rapide. Une seconde, une minute, une heure a passé et ils ne pouvaient même pas remarque le temps parce qu'ils se sont amusés.

Le temps est venu pour leur réunion à la fin. Ils sont fait leurs adieux. Quand ils marchaient dans des directions opposées, tous les deux ont pensé à leur desir et leur promesse se voir bientôt.

Ecrivez votre histoire à partir des mots de Grand corps malade!!

 Une Verbe

 Par Patricia Abigail Rodriguez

C'était l'été. Il y avait des enfants qui jouaient avec leurs amis, les hommes avec leurs chien et les mères avec leurs enfants. Un homme qui s'appelait Jean était sous un arbre dans le parc. Soudainement, il a eu un regard avec une femme qui s'est assise sur un banc. Il a pensé qu'elle était belle donc il s'est dirigé vers elle et s'est present. La femme, qui s'appellait Antoinette, avait un sourire innocent. Après ils ont parlé, Jean a demandé le numéro d'Antoinnette. Elle a demandé le mail du Jean aussi. Les deux ont senti un lien après cette rencontre. 
La femme attendait Jean. Le souvenir de la scène avec Jean et le parc était une belle image. Après beaucoup de patience, Antoinette a reçu un appel. Au moment elle a répondu, elle a entendu la voix du Jean. Il lui a demandé si elle voulait avoir un rencard. Il a donné les détails; l'horaire et l'endroit. Avec une réaction rapide, elle a dit d'accord. 
Le jour du rencard est arrivé. Jean pensait qu'elle viendrait au rencard. La venue de la femme était un suspense mélangé avec l'espoir d'une nouvelle rélation. Antoinette est arrivée dans le terrasse d'un café qui était l'endroit préféré du Jean. Les deux ont senti timide. Alors, Jean a commencé le dialogue. Il a parlé a propose de son travail, famille et autre sujets intimes. Antoinette a parlé de sa vie aussi. Entre ces conversations, il y avait des moments que les deux ont senti proche. 
Bien que le soleil brillait et la lumiere était éclatante, le couple ont senti le battement de leurs cœurs chaque seconde, minute et heure passait. Jean et Antoinette avaient encore le plaisir de parler avec l'un l'autre. 
Mais le temps de l'au-revoir est arrivé. Dans leur esprit, les deux voulaient qu’il avait une prochaine rencard. Avec timidité, Jean a demandé qu'elle devait faire la promesse d’un autre rendez-vous. Aussitôt apres leur au-revoirs, Jean et Antoinette ont pensé constamment leurs désirs pour une autre opportunité d'être ensemble.




La Pluie D'été
Jacinth Kezia Mina
C’était l’été. Je marchais dans le parc où il a soudainement plu. J’ai vu une belle fille qui n’avait pas un parapluie.
« Excusez-moi, mademoiselle. Vous pouvez prendre mon parapluie. »
Elle a souri. « Merci, monsieur. »
Je l’ai regardé pendant qu’elle a quitté.
La semaine suivant, j’ai reçu un appel.
« Bonjour. Etes-vous Fabien ? »
« Oui. »
« Je suis la fille dans le parc. »
J'ai attendu pendant une heure dans la terrasse de café.  Mon cœur a battu plus vite à chaque instant qu’elle n’était pas là.
Où elle est arrivée, nous avons parlé. Une heure semblait une minute, et une minute semblait une second.
Mais après une heure, c’était fini. Elle a dû quitter.
« Au revoir ! À prochaine ! » 


Une Rencontre
Vienna Maria Aurora J. Austria
C'était l'été. Le ciel était clair, il n'y avait aucun nuage, le soleil brillait au-dessus des rues animées. Il est arrêté devant un magasin qui vendait des articles de collection, et quand il a regardé par la fenêtre en verre, elle était là - une jeune femme élégante, la plus belle qu’il l’ait jamais vu. Il se tenait là, la regardant  fixement pendant quelques minutes, et le moment où leurs regards se sont croisés, elle lui a flashé un sourire qui ne ressemblait à aucun autre.
Sans hésiter, il est entré dans la magasin  et lui a parlé. Ils ont échangé leur numéro et leur e-mails et les deux ont accepté de se parler bientôt.
Cette nuit-là, il l'a appelée et il lui a demandé si elle aimerait sortir avec lui le lendemain. Il y eu un moment de silence avant qu’elle réponde. "Oui, Café L'amour, 10 heures." Son cœur a bondi de joie.
Il s'est réveillé tôt le lendemain. Il avait des fleurs dans une main, et l’espoir dans l’autre. Il a attendu son pendant environ 10 minutes, et le moment où elle entra, il a eu le souffle coupé. "Tu es jolie," dit-il les fleurs.
C’était le cadre idéal - la terrasse du café, la musique instrumentale dans le fond, le soleil, les oiseaux. Ils ont parlé pendant des heures. Ils ont partagé un moment vraiment spécial ensemble.
Il était temps pour elle de partir. Mais avant ils ont dit leurs adieux, il lui a demandé s’ils pouvaient serevoir. Avec sa voix douce et tendre, elle a dit "Oui. Je voudrais bien. "
En cet instant, il savait qu'elle avait capturé son cœur. 
...
Je Commence Demain
par Charnina Maguddayao
Faudrait que j’sois gentille
Faudrait que j’étudie bien
Que j’arrête de manger beaucoup
Et que je mange plus sain
Faudrait que j’devienne plus sage
Que j’sois la meillure étudiante
J’sais bien, j’sais bien, j’sais bien
Je commence demain
Faudrait que j’dorme pas tard
Que j’sois plus ponctuelle
Et que j’aie plus patience
Et que j’écoute ma maman!
Faudrait que j’devienne plus sage
Que j’sois la meillure étudiante
J’sais bien, j’sais bien, j’sais bien
Je commence demain

 par Charnina Maguddayao
Un jour dans l'été, un ami que je n'avais pas depuis 13 ans m'a appelé et m'a envoyé un e-mail. Il voulait qu'snse rencontre à une terasse d'un café chic. Cet ami, il s'appelle David.  <<Tu me manques déja.>> il me dit.  J'ai été surpris, parce que je n'attentais pas voir à le 13 ans aprés. Mais, j'ai envoyé <<D'accord.>> à son numéro de téléphone. Et puis, je lui ai demandé quand, et il a répondu:  <<Demain. Cette une promesse?>>  <<Oui, c'est une promesse.>> Le jour d'aprés, j'attendais David quand j'ai commencé à évoquer les souvenirs de notre enfance. David était mon meilleur ami quand j'ai eu 5 ans, jusqu'à sendépart aux États-Unis. J'ai realisé qu'il me manquais. J'ai attendu avec impatience.  Un heure, une minute et une seconde, mais David n'était pas là. Je commencais à m'inquiete quand j'ai vu un homme grand avec un beau sourire. Il m'a regardé. Et mon coeur a commence à battre furieusement.
-a continué-

 
Je Commence Demain

Par Patricia Abigail Rodriguez

Faudrait que je sois gentille
Faudrait que je moins serieuse
Que je suis plus contente
Et que je vive une vie

Faudrait que je suive cette chanson
Que j'évite une vie de dépression

J'sais bien, j'sais bien, j'sais bien
Je commence demain

Faudrait que je suis sociale
Et que j'aie plus d'amies
Faudrait que j'aille dehors
Avant qu'je sois seule

Faudrait que je suive cette chanson
Que j'évite une vie de dépression

J'sais bien, j'sais bien, j'sais bien
Je commence demain

Faudrait que j’étudie le français
Une langue que j’aime le plus
Faudrait que j’apprenne vite
Que j’aille en France

Faudrait que je suive cette chanson
Que j'évite une vie de dépression

J'sais bien, j'sais bien, j'sais bien
Je commence demain

Faudrait que le fasse
Faudrait que le fasse


Je commence demain
Jacinth Kezia G. Mina

Faudrait que j’étudie bien
Faudrait que je lise les livres
Que j’apprenne à mon cœur
Et que je sois intelligente

Faudrait que j’sois pas paresseuse
Que je veuille aller à l’école

J’sais bien, j’sais bien, j’sais bien
Je commence demain

Faudrait que je fasse mes devoirs
Faudrait que j’écoute mon professeur
Que je ne regards pas le TV
Et que je sois travailleuse

Faudrait que j’sois pas paresseuse
Que je veuille aller à l’école

J’sais bien, j’sais bien, j’sais bien
Je commence demain



Une Rencontre

C'était juste une autre journée d'été typique. C'était un jour très chaud, et mes camarades de classe se plaignaient de la météo et ils voulaient pleuve. Pour moi, il sa ne faisait rien. Parce que pour le moment, nous sommes à la classe de bowling et je dois faire de mon mieux pour obtenir des scores décents. Tout ce que j'ai pensé depuis que je suis entré dans la place ce jour-là a été de jouer au bowling.

Quand c'était mon tour, j'ai remarqué un certain nombre de garçons près de la table de billard. Ils étaient très bruyants. En dépit de la distraction, j'ai essayé de me concentrer. Je ne pouvais pas le dire, mais ces garçons semblent plus bruyant quand c'etait mon tour. J'ai mal fait ce jour-là. Ensuite, quelqu'un m'a dit: "Vous êtes assez bonne au bowling."

"Uhm, merci?" Je lui ai répondu sans regarder la personne alors que j'emballais mes affaires. Ensuite, il m'a demandé s'il pouvait obtenir mon numéro.

Étonné, je levais les yeux sur la personne avec une expression sarcastique qui dit: "êtes-vous serieux?" Mais quand j'ai vu le gars, j'ai été encore plus étonné à lui. Pour moi, il etait très beau. Je pense qu'il avait probablement 3 ans de plus que moi. Il tenait une cue avec sa main gauche. J'étais tellement occupé à ce regarder que je n'ai pas remarqué qu'il me demandait s'il pouvait avoir mon numéro. Sans voix, j'ai juste regardé ses yeux pendant quelques secondes.

«Euh, d'accord. Eh bien, c'est gênant.» il a dit.

«Oh, je suis désolée» j’ai répondu et j'ai forcé un sourire sur mon visage.

«Je suis Andrei dit en passant, et vous?»

Ma voix était inhabituellement fragile comme je l'ai dit, «Tiffy, Enchantée.» Alors je suis parti. Je savais en moi que je voulais rester, mais mon instinct me dit de partir.

Je me précipitais vers la porte quand il a dit d'une voix forte: «Je vais être ici à nouveau demain.»
J'ai pris une profonde respiration et je suis sortie de la salle. Il était déjà midi à ce moment-là et le soleil etait à son apogée. Je n'étais pas particulièrement heureuse de ce qui s'était passé, mais quand j'ai marché plus loin de la salle, je me sentais si légère. Cela m'était egal l'air humide, et la chaleur du soleil. Tout ce que je pouvais penser était notre conversation et que j'avais été embarrassée. Je n'ai même pas su lui dire au revoir. Mon cœur battait vite et puis je me suis souvenue qu'il y serait encore demain. Je voulais le rencontrer à nouveau et m'excuser de mon comportement, si ce n'est pour sa multitude d'amis là-bas avec lui. /Justine Mhay Caraan/

Je Commence Demain
-par Justine Mhay Caraan-


Faudrait que j’étudie
Faudrait que je fasse des tâches
Que j’écrire des notes
Et que je lise beaucoup. 


Faudrait que je sois sérieuse
Que j’sois plus persiste à ma vie.


J’sais bien, j’sais bien, j’sais bien
Je commence demain.


Faudrait que j’dorme plus tôt
Et que je fasse les exercices
Faudrait que j’fasse un régime
Avant qu’il ne soit trop tard.


Faudrait que je sois en bonne santé
Que je puisse faire quelque chose.


J’sais bien, j’sais bien, j’sais bien
Je commence demain.



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